je me fais niquer par un vieux salaud

Je me fais niquer par un vieux salaud

Je suis retournée promener mon chien tous les autres soirs de la semaine, mais ce n’est que le quatrième jour que j’ai enfin revu Richard. En attendant, à chaque fois que je suis rentrée chez moi sans avoir eu le bonheur de le retrouver, je me suis masturbée dès que j’étais seule, dans ma petite chambre. Je devenais de plus en plus boulimique de sexe. Chaque jour qui passait j’avais plus envie de sentir une grosse bite en moi. Mon nouvel amant le curé était malheureusement parti pour un séminaire qui le tenait éloigné de sa paroisse durant près d’une semaine. Je me sentais bien seule et délaissée. Le souvenir de la pipe rapide que j’avais faite à Richard dans le parc hantait mes nuits et je rêvais de sa belle bite bien épaisse en m’endormant, de son manche court et large que je ne pensais qu’à me fourrer dans la chatte ou, peut-être, dans le cul.

Le deuxième soir, je me suis baisée moi-même avec mon gode favori. Je l’ai même fait entrer un peu dans mon oeillet foncé, sans oser cependant le pousser trop loin derrière la barrière de mes muscles anaux.

Enfin, au bout de quatre jours, mon chemin a croisé à nouveau celui de Richard. Je suis allée discuter franchement avec lui. Il n’avait pas l’air gêné de me revoir. Je lui ai avoué combien je ressentais le désir de me faire mettre par son gros morceau, l’envie de le sentir logé bien au fond de mon ventre de jeune salope. Je lui ai même confié que je m’étais touchée tous les soirs en y pensant, en m’imaginant remplie par son zob de vieux cochon. En lui parlant comme ça, j’étais certaine de ne pas le laisser insensible. Qui aurait pu résister à des confidences si crues de la part d’une petite vicieuse si désirable ? Certainement pas lui, si j’en jugeais par l’état dans lequel il se trouvait à la fin de mon long monologue salace. Pour m’en assurer, j’ai tendu la main vers son entrejambe et j’ai mesuré la raideur de sa queue avec mes doigts. Comme je m’y attendais, il était déjà bien gros et fort. Je l’ai massé immédiatement, sans craindre de choquer les rares personnes qui hantaient encore le jardin public. Il faisait très sombre dans notre coin et personne n’aurait pu décemment imaginer qu’il y avait dans les allées une jeune salope en train de branler un vieux bonhomme. C’était pourtant bien ce qui se passait, presque sous les yeux des passants. J’étais collée contre Richard et je lui touchais la bite, mes doigts couraient tout au long de son manche que je sentais dressé dans son pantalon.

Il me repoussa un instant, pour me faire comprendre qu’il lui en fallait plus. Ca tombait bien car c’était exactement ce que je voulais moi aussi. Nous ne pouvions tout de même pas baiser sur un banc public, au vu et au su de tous. Pourtant, j’étais presque assez chaude pour prendre ce risque insensé. Richard m’entraîna vers le buisson qui nous avait déjà accueillis au début de la semaine. Là, il se mit à appuyer sur ma motte avec la paume de sa main, en la faisant rouler. Ca me faisait un drôle d’effet, j’avais chaud dans le ventre. Nous étions debout côte à côte et nous nous caressions mutuellement. J’ai sorti sa bite de la gangue d’étoffe qui la comprimait. Elle était encore plus vigoureuse et forte que dans mes souvenirs les plus fous. J’ai fait aller mes doigts dessus un petit moment, histoire de conforter sa raideur.

La main de Richard avait trouvé le chemin de ma chatte. J’avais délibérément enfilé une jupe courte pour sortir de chez moi ce soir-là. Je ne portais rien en dessous, pas la moindre petite culotte. Pareillement, j’étais nue sous mon chandail. Mes tétons qui se raidissaient sous l’effet des caresses de Richard frottaient leur pointe sur la laine un peu rêche de mon vêtement. J’avais le souffle court mais ce n’était rien comparé au moment où mon papy pervers enfila enfin sa main sous ma jupe. Il se rendit tout de suite compte que j’étais à poil en touchant mes fesses. Il me caressa un instant les globes jumeaux du cul, savourant la douceur de ma peau de jeune gamine perverse. Le tranchant de sa main se glissa dans ma raie et s’avança jusqu’à l’orée de ma vulve. Il ne pouvait plus ignorer combien j’étais excitée car j’étais toute trempée. Il fit aller et venir deux ou trois fois le bord de sa main tout au long de ma fente huileuse. Il m’écarta même un peu la raie du cul en remontant.

Pendant tout ce temps, je le branlais activement. Il devenait toujours plus costaud dans ma main. Il mouillait du bout de la bite. Je commençais à avoir les doigts humides de son lubrifiant naturel. Il était plus que temps d’entrer dans le vif du sujet. Pourtant, il ne semblait pas pressé de me prendre. Je crois qu’il trouvait excitant de me tripoter la moule pendant que je le masturbais. Il fit entrer deux doigts dans ma chatte, comme pour en jauger la souplesse, puis il les retira et les porta à ma bouche pour que je goûte à ma propre mouille. Ce n’était pas la première fois que je m’essayais à cette expérience mais je trouvai celle-ci particulièrement troublante ce jour-là. Je léchai longuement ses gros doigts de vieux cochon. Il leur fit faire le même chemin encore deux fois, les replongeant alternativement dans mon vagin et dans ma bouche gourmande.

J’interrompis son manège, haletante, en lui demandant de me fourrer son chibre dans le sexe. Comme pour mieux lui faire comprendre ce que j’attendais de lui, j’ai mis sa verge le plus à l’horizontale possible sans le blesser et je l’ai tirée vers mon entrejambe. Il a fait un ou deux pas pour se placer derrière moi. Je voulais qu’il me baise par derrière, comme un chien. C’était la position qui m’excitait le plus. Dès qu’il fut bien placé dans mon dos, je me penchai en avant en m’appuyant sur l’arbre que nous commencions à bien connaître tous les deux. Je cambrai mes reins et j’écartai les pieds au maximum pour bien lui présenter mon sillon. Il faisait malheureusement trop sombre pour qu’il puisse admirer le spectacle affriolant de mon abricot fendu dans toute sa splendeur. Parfois je m’amusais à me regarder dans la glace dans cette position, un doigt ou un gode fourré dans le trou et je dois avouer que je me trouvais très attirante.

Richard me fit attendre quelques secondes avant de se résoudre à m’enfiler son braquemart dans la grotte. Le vieux salaud le faisait exprès, j’en étais sûre. Il voulait me faire languir pour que je réclame encore moi-même d’être prise. Je lui fis ce plaisir en tortillant mon cul avec une totale indécence. Je tournai la tête et lui dis simplement : ” Viens me mettre maintenant papy cochon, viens me fourrer la chatte ! ” Il se fit encore désirer un petit moment, frottant le bout de sa queue entre mes fesses. Un instant, je me suis demandée s’il n’allait pas me sodomiser. Un mélange d’appréhension et de désir se développa dans mon esprit. Puis il abaissa son membre entre mes cuisses et en dirigea le gland vers les lèvres légèrement pendantes de mon sexe. Celles-ci s’écartèrent d’un coup et avalèrent le gros nœud comme une gourmandise.

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